Journaliste politique reconnue et figure incontournable de BFMTV, Apolline de Malherbe fascine autant par ses interviews acérées que par la discrétion qu’elle maintient sur ses finances personnelles. Entre ses revenus médiatiques substantiels, un héritage familial prestigieux et des investissements immobiliers judicieux, la journaliste a su bâtir une situation financière confortable, avec un patrimoine estimé entre 1,5 et 3,5 millions d’euros selon les sources.
Résumé
- 💰 Revenus médiatiques solides : Apolline de Malherbe gagne entre 200 000 € et 350 000 € par an grâce à RMC et BFMTV, plaçant sa rémunération parmi les plus élevées du journalisme français.
- 📚 Activités complémentaires lucratives : ses livres politiques, conférences et interventions lui assurent des revenus additionnels estimés entre 3 000 € et 24 000 € par prestation.
- 🏠 Patrimoine immobilier parisien : elle posséderait un appartement d’environ 80 m² dans les beaux quartiers de Paris, valorisé autour de 900 000 €, pilier central de sa fortune.
- 📈 Placements et diversification : la journaliste aurait investi dans des produits financiers diversifiés générant 3 % à 5 % de rendement annuel, renforçant sa stabilité économique.
- 🏰 Héritage familial prestigieux : issue d’une lignée aristocratique, elle bénéficie d’un héritage culturel et immobilier, dont le château de Poncé-sur-le-Loir, valorisant sa fortune globale entre 1,5 et 3,5 millions €.
Les revenus médiatiques : socle principal du patrimoine
La carrière télévisuelle et radiophonique constitue sans conteste la source première des revenus de la journaliste. Son poste d’animatrice matinale sur RMC et BFMTV lui garantit une rémunération mensuelle estimée entre 10 000 et 30 000 euros bruts, incluant un salaire de base complété par diverses primes liées à l’audience. Sur une base annuelle, cela représente entre 200 000 et 350 000 euros, plaçant la présentatrice dans le cercle restreint des journalistes les mieux rémunérés du paysage audiovisuel français.
Diversification des sources de revenus professionnels
Au-delà de son activité principale, la journaliste complète ses revenus par d’autres canaux professionnels qui témoignent de sa polyvalence. Elle a publié plusieurs ouvrages d’analyse politique chez des éditeurs reconnus comme Grasset, générant des droits d’auteur qui peuvent représenter entre 16 000 et 24 000 euros par titre vendu, selon les ventes et les conditions contractuelles.
Parallèlement, elle intervient régulièrement lors de conférences et colloques sur le journalisme et les enjeux politiques contemporains. Ces prestations, très prisées dans le milieu institutionnel et entrepreneurial, sont rémunérées entre 3 000 et 10 000 euros par événement. Cette stratégie de diversification, courante chez les journalistes de son envergure, permet non seulement d’augmenter les revenus annuels mais aussi de renforcer sa visibilité et son expertise auprès de publics variés.
Une position consolidée dans l’écosystème médiatique
Sa longévité dans le milieu télévisuel, depuis son arrivée à BFMTV en 2007, puis sa prise de fonction à la matinale de RMC en 2020 après le départ de Jean-Jacques Bourdin, démontre une capacité d’adaptation remarquable aux évolutions du paysage médiatique. Cette stabilité professionnelle se traduit par une accumulation progressive de revenus qui, investis intelligemment, ont permis de constituer un patrimoine substantiel.
Bien que la journaliste ait elle-même évoqué dans Libération en octobre 2023 le fait de gagner moins que son prédécesseur Bourdin, sa rémunération reste nettement supérieure à la moyenne des journalistes français. Cette situation privilégiée s’explique par sa capacité à incarner une ligne éditoriale exigeante tout en maintenant des taux d’audience élevés.
Patrimoine immobilier : un ancrage parisien stratégique
Comme la plupart des personnalités médiatiques établies, Apolline de Malherbe a orienté une partie significative de ses revenus vers : l’immobilier parisien, secteur réputé pour sa valorisation constante. Bien qu’elle maintienne une grande discrétion sur ses biens, les recoupements d’informations suggèrent qu’elle possède au moins une résidence principale dans la capitale.
Un appartement dans les beaux quartiers
Les estimations convergent vers la détention d’un appartement d’environ 80 mètres carrés dans les 6ème ou 7ème arrondissements de Paris, quartiers historiques où le prix moyen du mètre carré avoisine les 11 000 euros. Une telle acquisition représenterait une valeur proche de 900 000 euros, constituant ainsi un pilier majeur de son patrimoine immobilier.
Ce type d’investissement correspond parfaitement au profil socio-professionnel d’une journaliste de renom évoluant dans les cercles parisiens influents. L’immobilier dans ces zones offre non seulement un cadre de vie prestigieux mais également une sécurité patrimoniale, les biens dans ces secteurs conservant historiquement leur valeur et bénéficiant même d’une appréciation régulière.
Investissements complémentaires et diversification
Au-delà de la pierre, la journaliste aurait probablement constitué un portefeuille financier diversifié, incluant des :
- Des placements en assurance-vie
- Des unités de compte
- Un portefeuille d’actions ou d’obligations
Cette approche multi-supports, généralement conseillée par des gestionnaires de patrimoine professionnels, permet d’optimiser la fiscalité tout en générant des rendements annuels estimés entre 3 et 5%, contribuant ainsi à l’accroissement progressif de la fortune globale.
Certaines sources évoquent aussi la possibilité d’investissements secondaires en province, stratégie cohérente avec la tendance observée chez les cadres du secteur médiatique qui cherchent à sécuriser une part de leurs revenus tout en profitant de prix au mètre carré plus accessibles hors de la capitale.
L’héritage familial : un patrimoine historique remarquable
Issue d’une famille aristocratique ancrée dans l’univers culturel français, la journaliste bénéficie d’un héritage familial qui influence significativement sa situation patrimoniale générale. Son père, Guy de Malherbe, peintre reconnu, est propriétaire du château de Poncé-sur-le-Loir, un manoir Renaissance construit vers 1542 et transmis dans la famille depuis cinq générations.
Le château de Poncé : un joyau architectural
Ce monument historique, classé et protégé, représente une valeur estimée à plusieurs millions d’euros selon les évaluations patrimoniales. Situé dans la région de la Loire, le château s’étend sur environ 1 400 mètres carrés et incarne l’élégance architecturale de la Renaissance française. En 2020, la « terrasse Caroline » du domaine a bénéficié d’une subvention de 10 000 euros du Loto du patrimoine pour des travaux de restauration urgents.
Cette aide avait initialement suscité une polémique dans les médias, finalement éteinte après une enquête du service Check News de Libération confirmant l’absence totale d’irrégularité dans son attribution. Si ce patrimoine architectural constitue davantage un capital symbolique qu’un actif liquide directement mobilisable, il représente néanmoins une composante importante de l’héritage familial.
Un environnement familial privilégié
La mère de la journaliste, Marie-Hélène de La Forest Divonne, est une galeriste influente dans le milieu de l’art contemporain parisien. Son frère Jean poursuit également une carrière dans l’univers des galeries d’art. Cet environnement familial, profondément ancré dans les milieux culturels et artistiques de la capitale, a incontestablement facilité l’insertion professionnelle dans les cercles médiatiques parisiens.
Au-delà de l’aspect purement financier, cet héritage culturel et social représente un capital relationnel considérable, ouvrant des portes et créant des opportunités professionnelles dans un secteur où les réseaux jouent un rôle déterminant. Le lien familial avec François de Malherbe, célèbre poète du XVIIème siècle, ajoute une dimension historique supplémentaire à ce patrimoine immatériel.
À 45 ans, la journaliste se trouve dans une phase de carrière où sa notoriété est solidement établie tout en conservant de belles perspectives d’évolution. Sa gestion patrimoniale prudente, privilégiant les investissements stables et diversifiés, devrait permettre une appréciation progressive de sa fortune globale, estimée aujourd’hui entre 1,5 et 3,5 millions d’euros selon les sources consultées.



